Estime de soi: j’ai appris à me célébrer 2
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Estime de soi: j’ai appris à me célébrer 2

Hello Blog, je reviens avec la suite des articles de mon journal de bord.

Petit rappel : en 2018 j’ai commencé à publier cette série d’article qui fait partie de des messages que je me suis écrite pendant le mois de février 2018. J’ai finalement décide de partager avec vous, mes lecteurs invisibles ce petit cadeau d’anniversaire en attendant d’en faire un grand livre. Je vous laisse en lire davantage dans cet article.

Retrouve l’intégralité de  Mon journal de bord juste là.

 

Je célébre chaque instant de ma vie

Je ne suis pas née dans l’opulence, mais j’ai été au petit soin pendant mon enfance et une partie de mon adolescence avant que la chose ne devient de plus en plus dure et que ma famille ne resserre les ceintures afin de pouvoir mettre toute la famille à l’abri du besoin.  Ces instants je les ai célébrés et ils sont restés gravés dans mon cœur.

J’ai encore le souvenir de mes anniversaires toute jeune et ceux de mes frères et sœurs. Quand ma tante, munie de ses jolis gâteaux parfumés, (elle ne ratait jamais l’occasion de nous faire plaisir) débarquait a la maison afin de rendre ses instants mémorable. Quand bien même elle n’avait pas l’occasion de nous les apporter, elle prenait plaisir à les expédier par le biais d’un tonton qui faisait la ligne de transport Bafoussam- bangangté. Ces moments, je l’ai célèbrent jusqu’à présent et ils restent gravés dans mon cœur.

Tu peux aussi lire mes souvenirs d’enfance ici

Je ne sais pas me disputer et je n’aime pas les disputes du coup il sera difficile de me voir au milieu des personnes qui se querellent ou encore d’encourager cet attitude. A quoi cela te servira-t-il d’offenser ton amie frère, sœur si toi-même tu n’aimerais pas être offense. J’ai entendu dire par certains que c’est une attitude de personnes lâche. Je préfère  mille fois ma tranquillité même si cela revient à être traité de lâche. Je sais être contente du le bonheur d’autrui, je compatis quand il y a autour de moi de la douleur. J’ai appris à célèbre ma tranquillité, et celle de mon prochain m’est aussi importante

Je célébre chaque instant passé avec mes proches

J’ai également appris à célébrer le faite d’être l’ainée de ma famille. C’est une grâce d’être la grande sœur sur qui tout le monde peut compter. Mais il y a quand même le revers dans cette histoire d’ainée (s’occuper des plus petits, laver leur habits plein de boue parfois, courir de gauche à droite pour après eux, crier à en perdre la voix aussi, ne pas avoir la possibilité de jouer avec les enfants de ton âge qui eux/ne sont pas aines, être toujours celle/celui qu’on appelle quand ça ne va pas… la liste est tellement longue).

Mais pour rien au monde je ne changerais ce que j’ai vécu, car tout ceci a concouru à faire de moi la femme que je suis aujourd’hui. Je célèbre encore ma place d’ainée (rôle que je prends très au sérieux J ) et je suis reconnaissante d’avoir des petits frères et sœurs

Je célèbre tous les ainés que j’ai rencontrés sur mon chemin, ceux qui sont sortis de ma vie, ceux avec qui je partage mon quotidien, ceux sur qui je peux aussi me reposer quand je suis fatiguée. Ceux qui me rappellent souvent à l’ordre quand en tant que petite sœur je dérape.

J’ai aussi une lettre d’amour pour vous lq

Je pourrais passer ma vie entière à célébrer que je n’en finirais point. Comme moi, je vous invite à célébrer chaque seconde de votre vie et chaque moment passe avec vos proches

Je célèbre…

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